Médias
Débat : Les nouveaux chiens de garde
Débat sur la "liberté" des médias
- Jeudi, 22 novembre 2012 : 20h00 - 22h00 Centre Jeunes Taboo - 8, rue Basslé 6000 Charleroi
Pourtant, la logique marchande et ses impératifs de rentabilité influencent tant les médias privés que les médias publics. Conflits d’intérêts, proximité entre journalistes et pouvoir politique, poignée d’experts qui se croisent en permanence sur les plateaux télé, peu de temps de parole accordé à la critique radicale du système …
Les médias sont-ils devenus malgré eux les "chiens de garde" de l’ordre établi ?
Information prémâchée, uniformité des sujets, course au scoop : la presse « traditionnelle » fait l’opinion, participe à la construction des « buzz » et laisse dans l’ombre une série de problématiques qui mériteraient leur place aux heures de grande écoute.
La grande diversité des titres garantit-elle la diversité d’opinions qu’on est en droit d’attendre?
Les journalistes sont-ils libres de poser des questions dérangeantes ?
Dans ce contexte, comment lire l’actualité avec un regard critique ?
Comment s’informer en-dehors de la presse traditionnelle ?
Quel rôle et quelles pressions peuvent exercer les citoyens ?
En présence de :
- JEAN-JACQUES JESPERS, ancien journaliste RTBF, ancien président de l’Ecole universitaire de journalisme de Bruxelles, professeur de déontologie de l’information et de la communication à l’ULB.
- ANNE LOWENTHAL, ex-journaliste, bloggeuse, auteure de billets d’humeur sur l’actualité, citoyenne militante et très active sur les réseaux sociaux
- PASCAL LORENT, journaliste au journal Le Soir et collaborateur occasionnel à la Revue Politique
- OLIVIER TAYMANS, réalisateur de Épouvantails, autruches et perroquets: 10 ans de journalisme sur le 11 septembre 2001
Le sujet était centré sur les alliances des hommes politiques & journalistes. Il est trop long à détailler mais il faut se renseigner sur le groupe Bilderberg, dîner du siècle, 11 septembre... car ces groupes ont été évoqués!
Rêve du cœur : que les journalistes reprennent leurs libertés car mon image d'eux pour l'instant est qu'ils écrivent avec un flingue sur la tempe.